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Conseil Scientifique > Productions du Conseil Scientifique > Avis du Conseil Scientifique > Repérage du risque de cancer du sein chez les femmes de 25 ans Pour une prévention globale et adaptée - Janvier 2018 | |
Dans cette catégorie: DE L'IMPORTANCE DE LA CONTINUITÉ DES SOINS EN MÉDECINE GÉNÉRALE L'approche centrée patient en médecine générale Iatrogénie médicamenteuse : constat et propositions Eviter la visco-supplémentation dans la gonarthrose Intérêt du score calcique dans l'évaluation du risque cardiovasculaire en médecine générale Vaccin Comirnaty® contre la Covid-19 chez l’enfant âgé de 5 à 11 ans : une aide à la décision Pas d’aspirine pour les patients à risque cardiovasculaire en prévention primaire Vaccin AZD1222 (AstraZeneca) contre la Covid-19 : une aide à la décision Vaccin Moderna mRNA-1273 contre la Covid-19 : une aide à la décision Décider selon les données de la science, y compris en période pandémique Covid-19 : y a-t-il une place pour l’hydroxychloroquine (Plaquénil®) en médecine générale ? Covid 19 : argumentaire scientifique sur le dépistage de masse et le confinement L’association entre nombre de médecins généralistes par habitant et santé populationnelle Le développement de pratiques infirmières avancées en soins premiers en France Fichiers joints: |
Repérage du risque de cancer du sein chez les femmes de 25 ans Pour une prévention globale et adaptée - Janvier 2018Avis du Conseil Scientifique du 9 Janvier 2018Créé le mardi 9 janvier 2018 Repérage du risque de cancer du sein chez les femmes de 25 ans Les dernières données de la littérature scientifique ont remis en cause la pertinence d’un dépistage systématique organisé du cancer du sein tel qu’actuellement proposé. L’enjeu est désormais de modifier sa mise en œuvre1. A la suite de la récente concertation citoyenne1, un plan d’action pour la rénovation du dépistage organisé du cancer du sein a été publié2. Il propose d’offrir aux femmes âgées de 25 ans une « consultation dédiée à la prévention et au dépistage du cancer du sein », prise en charge à 100% par l’Assurance maladie.2 Ces femmes seraient invitées à consulter leur médecin généraliste (ou gynécologue) afin qu’il puisse :
Cette consultation dédiée au repérage populationnel du risque de cancer du sein à 25 ans n’a pas d’équivalent dans le monde et son intérêt n’a pas été évalué. Elle se heurte à plusieurs limites :
Les données épidémiologiques dans cette tranche d’âge incitent à s’attacher :
Enfin, le conseil scientifique du CNGE rappelle qu’en termes de prévention, la démarche doit être globale, centrée sur la personne et partagée avec le patient acteur de sa santé8. ------------------------------- Contacts presse Vincent RENARD 0625803329 Références
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