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Recherche > Veille bibliographique > Les veilles bibliographiques > Souffrir en silence : les raisons pour ne pas révéler sa dépression en soins primaires | |
Dans cette catégorie: Pertinence du stage en milieu pénitentiaire à partir du vécu des internes de médecine générale Patch de nicotine pendant la grossesse: inocuité et aide au sevrage La réduction du tabac améliore-t-elle l'espérance de vie? Dépistage d'anomalie cardiaque par échographie dans la population générale asymptomatique. Intérêt d’un bilan de santé systématique pour la réduction de la morbidité et de la mortalité. Influence de la contraception orale prise au long cours sur le poids Insuline : Attitude des patients et des médecins Les emplois du temps des médecins généralistes Problématiques éthiques induites par l’introduction du paiement à la performance en France Délivrer des soins progressifs : analyse de l’implémentation en pratique courante Éducation axée sur les compétences Les IPP n’aident pas les enfants ayant un asthme non contrôlé La prise occassionnelle de cannabis modifie-t-elle les EFR ? Les recommandations pour le diabète de type 2 manquent elles d’indépendance et de rigueur ? Prévention du DT2. Bénéfice de l'exercice physique + Diététique Association entre différence tensionelle entre les deux bras et risque cardiovasculaire Pertinence du stage en milieu pénitentiaire_vécu des internes de médecine générale |
Souffrir en silence : les raisons pour ne pas révéler sa dépression en soins primairesCréé le mardi 8 mai 2012
Auteur : Alain MERCIER _____________________________ Titre : Souffrir en silence : les raisons pour ne pas révéler sa dépression en soins primaires Mots Clés : Dépression, Antidépresseurs, Acceptation des soins, Divulgation CISP- 2 : P76 Domaine : DM01, DM18 / RM 02 Résumé : Enquête descriptive téléphonique auprès de 1054 adultes. 43 % ont déclaré une ou plusieurs raisons de cacher des symptômes à leur médecin. FDR : Etre une femme de bas statut social, sans antécédent dépressif. La peur des antidépresseurs est citée dans 22% des cas. Autres ressources:
Référence : Bell RA, Franks P, Duberstein PR, Epstein RM, Feldman MD, Fernandez y Garcia E, et al. Suffering in silence: reasons for not disclosing depression in primary care. Ann Fam Med. 2011 oct;9(5):439–46. _____________________________ Lien : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21911763
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