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Conseil Scientifique > Productions du Conseil Scientifique > Communiqués du Conseil Scientifique > Le CNGE pour une politique vaccinale cohérente et efficace - Décembre 2016 | |
Dans cette catégorie: Comment améliorer la couverture vaccinale : concertation ou obligation ? Juin 2017 Réduire la sur-prescription de benzodiazépines et apparentés : quelles solutions ? - Septembre 2016 Quelle performance pour le paiement à la performance ? Juin 2015 Faut-il avoir peur du paracétamol - Avril 2015 Comment faire barrière à la grippe en période épidémique ? - Janvier 2014 Les pilules de deuxième génération : LE premier choix - Septembre 2013 Nouveau calendrier vaccinal : le CNGE se félicite de sa simplification - Juin 2013 Les nouveaux anticoagulants : à réserver à des situations particulières - Janvier 2013 Maladies d’Alzheimer et apparentées_Des recommandations à préciser - Juin 2012 Cancer du col : priorité au dépistage organisé ! - mai 2012 Quand faut-il traiter les otites de l’enfant par antibiotiques ? - Septembre 2011 Maladies d’Alzheimer et apparentées : diagnostiquer mais pas dépister - Septembre 2011 Dépistage du cancer de la prostate : et après ? - Septembre 2011 Fichiers joints: |
Le CNGE pour une politique vaccinale cohérente et efficace - Décembre 2016Créé le lundi 19 décembre 2016
Le CNGE pour une politique vaccinale cohérente et efficace Le CNGE soutient la finalité du rapport1 issu de la concertation citoyenne sur la vaccination animée par le Pr Fisher qui vise à renforcer et améliorer la couverture vaccinale en France.
Toutefois, le CNGE redoute que l’obligation vaccinale renforce la défiance et les freins envers les vaccinations. Les prescriptions et propositions des médecins, qu’elles relèvent de la thérapeutique ou de la prévention, doivent être basées sur les données scientifiques et sur une approche centrée patient qui tient compte de ses caractéristiques, facteurs de risques, connaissances, croyances, appréhensions et préférences. Cela conduit à une décision partagée qui prend toute son importance dans le domaine des vaccinations. Cette conception n’est pas antinomique avec le respect de règles collectives protectrices, nécessaires à l’entrée en institution en particulier pour les enfants.
Les propositions du rapport du Pr Fisher visent effectivement à résoudre une situation paradoxale mal comprise par certains médecins et par de nombreux patients. Des vaccins sont obligatoires (Diphtérie, Tétanos, Polio) alors qu’ils sont parmi les moins importants dans les premiers mois de vie, et d'autres sont recommandés (Haemophilus, Coqueluche, Rougeole-Oreillons-Rubéole, Pneumocoque et Méningocoque), alors qu'ils sont plus décisifs pour protéger les nourrissons contre des maladies potentiellement mortelles.
Dans ce contexte, le CNGE rappelle que
Pour ces raisons, le CNGE préconise
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